Le regard s'engouffre sous la sylve, Sinue entre les troncs bruns et nus, Porté par le Vent. Les paupières sont closes Mais les yeux de l'âme voient loin. Presque invisible dans l'obscurité Naissante du crépuscule hivernal, Une silhouette songe contre un arbre. A l'approche de la pensée, Elle relève la tête. Luisent deux éclats : L'or pâle d'une crinière Et un sourire silencieux. (c) 2012
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Prose poétique sur la Nature et ses mystères
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Juillet 2021
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