La vie était douce quand on n'avait pas le sou.
On trouvait toujours de quoi faire Du thé le matin et de la gnôle le soir. On grimpait aux toits pour aller les boire, Partait se percher sur les tuiles des voisins, Pieds nus dans les brises tièdes de printemps. On s'envoyait des calembours en différents dialectes, Pour le plaisir de les sentir rouler sur la langue, Alors rires et mots fameux s'envolaient au loin. Parfois on y lisait aussi, paisibles et heureux, Regardant par en-dessus les abeilles affairées Qui se régalaient dans les pruniers en fleurs. (c) avril 2019
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Je me souviens de toi, toi mon respecté Maître,
Qui me pris par la main et m'enseigna le monde. Tu m'as appris à voir, à sentir et à être, Être un esprit rapide et une âme profonde. |
Prose poétique sur la Nature et ses mystères
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Juillet 2021
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